Témoignage
On avait pris l'habitude de le voir dans notre quartier. Toujours le premier à faire un signe, à dire bonjour. Parfois, avant de le voir, on entendait le doux ronronnement de son fauteuil. Il parlait avec tout le monde, jeunes et moins jeunes. Il était devenu partie intégrante de notre environnement. En sus de toutes les peines personnelles, on peut dire sans exagérer que notre quartier est en deuil.
Patrick GILSON- 20-11-22